mardi 11 juin 2013

Toi qui veut savoir...


 Chère toi.

 Comme tu le sais, comme je te l'ai dit. Il ne se passe rien. Nous jouons, discutons. Mais cela s'arrêtera là.

 Elle n'a pas réussi à marquer mon désir. Je pense que de la sont responsable les goûts que j'ai choisi en tant que principaux. Finesse, Musculature légère, que je garde l'avantage de la largeur, de la taille. Nous en sommes restés à chacun dans un lit à discuter. Peut-être cela pourra te rassurer. De plus je pense être incapable de ne plus te voir partout. Mes pièces sont imprégnées de ta présence, de ce que tu faisais, où, de quelle façon et à quel moment. Je ne pourrais jamais l'oublier. Tu as gravé ton odeur et ta chaleur dans mes murs qui sont tiens.

 Je pense aussi que je ne retrouve rien de toi en elle. Ta délicatesse, ton rire doux, ta voix si claire, ta voix féminine au final. Elle est bruyante. Trop, beaucoup trop. Ainsi je tiendrais ma promesse. Tu me manques.

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