C'est
face au Soleil, que l'Homme dressa sa route.
Sa
solitude sans démesure.
Il
tissa son destin dans les ombres de ses aînés.
Sans
scrupule, il construira pour mieux détruire.
Je
ne suis plus un masque déchiré en deux égos.
Les
étoiles irréalistes, nous donnent envie de rêver...
Cette
nuit sans fin, ce fatalisme irréel, demeure excessif.
Quel est
le juste milieu alors qu'aucun chemin n'est droit ?
Une
démagogie endommageante,
Des
esprits désespérés,
Une
folie folichonne,
Ces
feuilles infaillibles,
Une
étiquette non équitable,
Le contrôle
que l'on prône.
Aucun
mot ne saurait briser cette glace.
La
tempête au dehors fait rage.
Même
unis, personne n'y fera face.
Nos
armes ont pris de l'âge.
Le
soleil levant qui éclairait nos gloires,
S'est
terni, est sur le point de choir.
Les
jeunes années irraisonnées,
Étaient-elles
si erronées ?
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