dimanche 20 mai 2012

Tortueuse marche.


 C'est face au Soleil, que l'Homme dressa sa route.
Sa solitude sans démesure.
 Il tissa son destin dans les ombres de ses aînés.
Sans scrupule, il construira pour mieux détruire.

 Je ne suis plus un masque déchiré en deux égos.
Les étoiles irréalistes, nous donnent envie de rêver...
 Cette nuit sans fin, ce fatalisme irréel, demeure excessif.
Quel est le juste milieu alors qu'aucun chemin n'est droit ?


Une démagogie endommageante,
Des esprits désespérés,
 Une folie folichonne,
Ces feuilles infaillibles,
 Une étiquette non équitable,
Le contrôle que l'on prône. 

 Aucun mot ne saurait briser cette glace.
La tempête au dehors fait rage.
 Même unis, personne n'y fera face.
 Nos armes ont pris de l'âge.

 Le soleil levant qui éclairait nos gloires,
S'est terni, est sur le point de choir.
 Les jeunes années irraisonnées,
Étaient-elles si erronées ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire